Les Cris de Paris – Vœux 2024
Posté par Patrice Guerin le 27 décembre 2023
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Posté par Patrice Guerin le 27 décembre 2023
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Posté par Patrice Guerin le 23 décembre 2023
Pendant longtemps nos villes et nos campagnes furent parcourues par des colporteurs ayant chacun sa spécialité. Ceux-ci avaient souvent un “cri” pour s’annoncer et se faire reconnaitre. Je me souviens encore du marchand de peaux de lapin (en fait il les achetait) qui parcourait les campagnes dans les années 50, il criait « Peau… Peau… Peau d’lapin ! ».
VOIR : Une séance de lanterne magique chez les Grandpierre
Dès le Moyen Âge, à Paris, ces cris étaient poussés par les marchands ambulants (environ une cinquantaine). Ils signalaient ainsi leur présence tout en animant les rues et les places de « cette grand’ville si belle mais si bruyante » (Boileau). Ces cris étaient réglementés en fonction de chaque corporation de métier.
VOIR : Les savoyards, montreurs de lanterne magique
Figures pour lanterne magique CLIQUER ICI
En 1844, un certain Lefranc dépose à la Bibliothèque Nationale un dossier contenant les dessins originaux d’une vingtaine de sujets destinés à être reproduits sur des plaques de lanterne magique, parmi eux “Les Cris de Paris”. Sur l’une des pages il est écrit « « Je certifie que le présent exemplaire est la reproduction fidèle d’une planche en cuivre dont je suis propriétaire. Batignolles ce 5 janvier 1844. Lefranc rue des Batignollaises 11. »
Ci-dessous une série complète des Cris de Paris, correspondant aux figures ci-dessus (même taille de dessins). Dimensions des plaques : longueur 30 cm, hauteur 7,8 cm.
Marchand de marrons : « Marrons, marrons ! Chauds les marrons, chauds ! ». Marchande d’oublies : « Oublies, oublies ! Elles sont bonnes mes oublies ! ».
Vendeur d’étains : « Étains, étains, les beaux étains ! Pour boire, pour voir, les beaux étains ! »
Fripière : « Oyez mesdames, oyez ! De fripes, des fripes, pour pas cher ! »
Plaque provenant d’une autre série.
Montreur de lanterne magique : « Lanterne magique, pièces curieuses ! »
VOIR : Montreurs de lanterne magique
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Posté par Patrice Guerin le 14 septembre 2023
Dès le milieu du XIXe siècle différentes sources lumineuses furent disponibles pour les lanternes magiques ou lanternes de projection. Entre la bougie, la lampe à huile ou à pétrole, à acétylène, à alcool, puis l’ampoule électrique, il y avait de telles différences qu’on voulut avoir une mesure comparative, d’autant plus que les fabricants avaient tendance à vanter les mérites de leurs appareils par rapport à ceux de la concurrence.
Différents éclairages utilisés en projection.
Christian Huygens semble avoir été le premier à s’intéresser à la mesure de la luminosité d’objets en comparant la lumière de Sirius à celle du Soleil. Mais l’on considère que le premier appareil permettant de mesurer la lumière (photomètre) est celui de Rumford, imaginé par Lambert vers 1760. Il se compose tout simplement d’une tige opaque placée devant un écran blanc, éclairée par deux sources lumineuses différentes.
Schéma du photomètre de Rumford.
Le principe consiste à avoir une distance fixe (généralement 1 mètre) entre la lumière de référence B et l’écran et une distance variable pour l’autre source lumineuse A afin que les deux ombres juxtaposées aient la même intensité.
L’intensité de la source à mesurer est directement proportionnelle aux carrés de leurs distances comme l’indique la loi sur la photométrie.
Banc de mesure Duboscq / Pellin sur lequel on peu substituer rapidement le photomètre de Bunsen A’ et celui de Foucault B’
Les photomètres les plus employés à la fin du XIXe siècle furent celui de Bunsen A’ et celui de Foucault B’, bien que de nombreux autres existèrent. Ils furent améliorés constamment pour en rendre l’usage plus pratique. Remarquer sur le schéma ci-dessus la position des miroirs.
Photomètre de Bunsen modifié par Edge-Burel A’ recto verso.
Le principe en est fort simple. Une tache d’huile ou de graisse est appliquée sur une feuille de papier sans grain perpendiculaire aux éclairages. Quand on regarde le papier par réflexion à l’aide de deux miroirs correctement orientés, la tache paraît sombre sur un fond brillant. Il suffit alors de déplacer l’éclairage à mesurer jusqu’à ce que la tâche disparaisse à la vision, puis on mesure l’espace et l’on applique l’équation de photométrie
Photomètre de Foucault modifié par M. Violle B’ de face et ouvert.
En 1887, le physicien Jules Violle a ajouté au photomètre de Foucault un dispositif de deux glaces placées à 45° de l’axe du photomètre et faisant, entre elles, un angle de 90°, ce qui permet de le placer avec les deux sources lumineuses sur un banc unique et de pratiquer comme avec le modèle Bunsen. D’ailleurs l’un et l’autre peuvent être substitués très facilement sur le rail gradué de 1m50 ou 2m.
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Posté par Patrice Guerin le 15 juillet 2023
Les Grand Magasin du Louvre à Paris vers 1900.
Au début du XXe siècle, les Grands Magasins du Louvre commercialisent plusieurs séries de vues sur verre “inédites pour Projections”. « Enfoncée notre bonne vieille lanterne magique d’antan ! Voilà les Photo-Bonshommes et les Phono-Photo-Bonshommes*, la grrrande nouveauté de 1903 pour les enfants sages. La joie des enfants, la tranquillité des parents ! Cela marche, court, parle, chante, rit, presque aussi bien que la nature, surtout quand les canards vont au champs. Et cela ne coûte que deux sous… non, un peu plus : 39 fr. et 79fr. »(1)
Vue en noir et blanc (Le Mauvais élève) et vue en couleurs (Manœuvres à la garnison), signées F. Moinson.
Intitulés “Les Photo-Bonshommes” « ces vues traitant toutes espèces de sujets d’actualités humoristiques et scientifiques, constituent pour notre jeune génération actuelle, un élément incontestable de haute portée morale, en même temps qu’une des plus attrayantes récréations. »
NB le titre est écrit avec une typographie représentant des petits personnages.
Cette notice indique qu’il y a 26 séries “à ce jour” contenues dans des boîtes à rainures dans lesquelles se trouvent 10 vues sur verre au format 8,5x10cm. Chaque série est commercialisée en noir et blanc (prix 6,50fr – boîte marron) ou en couleurs (prix 12,50fr – boîte rouge) NB La mise en couleur est faite à la main directement sur chaque vue. Elle est accompagnée d’un feuillet dépliant sur lequel figure les commentaires des 10 vues. Les dessins sont signé F. Moinson.
7 coffrets en carton contenant 10 vues chacun.
Une page de catalogue des Grands Magasins du Louvre, datant de 1910, nous apprend qu’outre les vues sur verre, Le rayon de Photographie situé au 3e étage galerie Rivoli de ce Grand Magasin commercialise des lanternes pour projeter ces vues “en famille”. Le modèle illustré, nommé Scola, est une lanterne Demaria Lapierre, quant à la lanterne “Modèle spécial Louvre” avec lampe à pétrole à 4 mèches, il s’agit d’un modèle présent chez de nombreux fabricants et photographes de l’époque. Elle est souvent dénommée “Simplifiée” car il s’agit d’un modèle d’entrée de gamme.
Lanterne spécial “Louvre” avec lampe à pétrole à 4 mèches.
VOIR : Gros appareil de projection des années 30 DEMARIA-LAPIERRE
* Pour l’instant nous n’avons aucune information sur ce sujet.
(1) Article paru dans le journal La Mayenne du 13 décembre 1902, rubrique “La Mode”.
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Posté par Patrice Guerin le 18 mars 2023
Lanterne de projection Sciopticon, Marcy 1869.
Le 6 juillet 1869, l’américain L. J. MARCY dépose un brevet (N°92.330) pour une lampe à pétrole à 2 mèches, spécialement conçue pour une lanterne de projection complètement nouvelle. Dès lors toutes les lampes à pétrole de ce type seront appelées “américaines”, par rapport aux traditionnelles lanternes magiques fonctionnant avec de simples godets ou des petites lampes quinquet à huile, peu adaptées à la projection.
VOIR : Lanterne magique carrée en fer blanc - Éclairage lanterne magique Système AUBERT - Lanterne magique vernie noire - Lanterne magique Lampascope
Brevet Sciopticon Marcy n°92.330 du 6 juillet 1869.
Cette véritable chambre de combustion est composée d’un socle servant de réservoir, surmonté de deux becs parallèles dans chacun desquels se trouve une mèche plate trempant dans le pétrole. Ces becs multiples sont placés à l’intérieur de la lanterne et surmontés d’une chambre de combustion à courant d’air, à l’arrière de laquelle se trouve un miroir parabolique destiné à renvoyer la lumière vers l’avant. La face orientée vers l’objectif est fermée par un verre ou un mica. Le tout est surmonté par une longue cheminée de tôle qui facilite le tirage et sort du corps de la lanterne.
Eclairage au pétrole à 2 mèches inventé par Marcy.
L’autre avantage de ce projecteur par rapport aux lanternes magiques traditionnelles, est qu’il dispose d’un système optique de qualité composé d’un condensateur de grand diamètre, d’un passe-vues pouvant recevoir des glissières va et vient et d’un objectif coulissant ou à molette généralement composé de plusieurs lentilles. Les lanternes magiques se contentant d’une simple lentille en demi boule pour le condensateur et d’une lentille ordinaire bi convexe pour l’objectif.
La Maison Laverne commercialise en Angleterre sa propre lanterne sous le nom de Sciopticon.
La lanterne Sciopticon de Marcy est commercialisée en Angleterre par Woodbury
© Patrice GUERIN diaprojection
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Posté par Patrice Guerin le 19 février 2023
Une fois n’est pas coutume, puisque l’on n’est plus dans la projection mais dans la capture d’image.
Voici un très bel appareil photographique stéréo, de type Détective, fabriqué par la Maison Molteni en 1885.
Extrait du brevet Groult du 30 mai 1885 (source G.V.).
En mai 1885, monsieur Groult dépose un brevet n°169144 pour un “Pistolet photo-stéréoscopique”. « Il s’agit d’une chambre stéréoscopique double munie d’un seul obturateur à rideau situé à l’arrière des objectifs… Au dessus se trouve une autre chambre munie d’un objectif identique et d’un dépoli à l’arrière qui sert de viseur… En dessous se trouve une poignée et une gâchette. »
Le 5 février 1886, monsieur Molteni présente, au nom de M. Groult, cet appareil à la Société Française de Photographie. « Pour mettre l’appareil en état de fonctionner, on remonte le rideau de l’obturateur en tournant le bouton du rouleau supérieur. On introduit le châssis négatif dans sa rainure, on enlève le volet et on ferme la trappe. L’appareil est prêt à fonctionner immédiatement. »
Catalogue A. Molteni n°46 juillet 1888
Le catalogue A. Molteni n°46 de juillet 1888, consacré aux “Principales fournitures photographiques” consacre 4 pages à ces appareils automatiques et au Pistolet Photo-Stéréoscopique de M. Groult, qui sont construits sur le même modèle. « Les appareils automatiques ne présentent pas les inconvénients des chambres de voyage. Plus de rideau noir, ni de glace dépolie ; mises au point indiquées à l’avance pour les lointains ou les objets rapproches ; appareil tenu à la main pour les instantanées, ou se montant sur un pieu pour les poses plus longues. »
écorché de l’appareil avec magasin, bulletin SFP 1888 page 186
L’appareil de type Détective, essentiellement portatif, est suffisamment léger pour être tenu à la main (avec ou sans poigné révolver) et permettre de prendre des photographies instantanées. Il peut être équipé d’un magasin formant boîte à escamoter pour 11 plaques 8 x 15,5 cm.
Visée en “vision directe” sans la chambre supérieure
« Rien ne vaut la vision directe, » précise monsieur Molteni « on se rend mieux compte de l’effet produit, et si un objet disparate gâte le tableau, il est vu immédiatement, tandis que l’image formée par la chambre auxiliaire a, croyons-nous, plusieurs désavantages : elle est trop petite, les objets bien que droits sont retournés de droite à gauche, et enfin, quand on est en plein soleil, on distingue très difficilement l’image sur la glace dépolie, malgré l’abat-jour qui est devant. »
Appareil automatique stéréoscopique (collection PG)
Cet appareil en acajou verni et laiton mesure 12 x 22,5 x 19,5 cm et pèse 3 kg. Le panneau avant s’ouvre pour donner accès aux objectifs tandis qu’à l’arrière se trouve un châssis mobile équipé d’un dépoli et d’un volet. L’un des côtés possède une poignée de transport, tandis que l’autre supporte tous les systèmes de réglage dont une échelle des distances. Le dessus est équipé d’une bulle de niveau et d’une griffe pour fixer un viseur. Le dessous supporte la gâchette de déclanchement, la molette de réglage des objectifs et au centre un pas de vis pour fixer un pied.
Trois de ces appareils ont pu être comparés lors d’une “rencontre” la Société Française de Photographie qui en possède deux mono objectif (sans objectif). Le troisième est un modèle stéréo sans poignée ni viseur.
Un quatrième modèle connu, mono objectif, se trouve au Musée Eastman à Rochester.
VOIR Eastman Museum
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Posté par Patrice Guerin le 15 janvier 2023
Notices en français et en anglais* vers 1910 (* Corporate Archives Carl Zeiss AG Jena)
« Le succès durable de notre grand appareil de projection ainsi que les vœux qui nous ont souvent été adressés nous ont engagés à construire, pour les écoles, les entreprises et les familles, un petit appareil de projection bon marché et néanmoins capable de fournir de belles images. Cet appareil a immédiatement trouvé un accueil favorable auprès de notre clientèle. » Les archives numériques Zeiss indiquent qu’il a été créé en 1911 CLIQUER ICI. D’après le numéro de production, cet appareil a pu être fabriqué vers 1914/15.
Appareil de projection complet
Ce petit banc de projection est composé de 3 parties séparées (éclairage, condensateur, objectif) reposant sur un lourd rail triangulaire caractéristique de la marque Zeiss. Une lampe à arc, préférable pour sa grande intensité lumineuse, a été adoptée pour ce modèle destiné aux écoles, aux entreprises et aux familles.
Disposition de l’arc électrique
Le charbon supérieur est disposé horizontalement afin que le cratère présente toute sa surface lumineuse au condensateur. L’écartement se règle à l’aide d’une grosse molette manipulée par le projectionniste. Son courant à été réduit à 4 ou 5 ampères au moyen d’une résistance pour qu’elle puisse être branchée sur le réseau électrique de l’appartement. L’arc électrique peut être utilisé avec du courant continu ou alternatif ; dans ce cas, il fournit une lumière un peu moins intense. Il faut spécifier cette particularité lors de la commande.
L’éclairage est contenu dans un boîtier en métal simple, étanche à la lumière. De petite taille, le système d’éclairage se trouve sur un support mobile fixé sur un solide rail (4kg à lui seul), comme les autres composants de l’appareil, ce qui contribue grandement à la simplicité de l’ensemble.
La lampe à arc doit toujours être utilisée en série avec une résistance choisie pour réguler la tension disponible. La résistance doit être telle que la lampe reçoive un courant de 4 ampères sous 110 volts et 5 ampères à 220 volts sur le secteur.
Le condensateur se compose de trois lentilles comme dans le grand appareil de la marque. Sa distance par rapport à l’arc électrique est réglée de façon à utiliser aussi complètement que possible le flux lumineux. Il est relié à la partie éclairage par un cône étanche à la lumière. « Il faut bien placer ce le manchon annulaire sur le devant de la lampe sans toutefois toucher réellement l’avant du boîtier de manière à laisser un espace libre de quelques millimètres pour la circulation de l’air. »
Les trois lentilles sont combinées de façon permanente dans une seule monture qui sert aussi à supporter les différents passe-vues. Cet assemblage simple a été rendu possible par l’absence d’une cuve de refroidissement à eau, ce qui est compréhensible compte tenu de la faible quantité de chaleur émise par la lampe à arc.
3 modèles de passe-vues, de gauche à droite 8,5x10cm, 9x112cm, support des formats précédents, 8,2×8,2cm
Bien que le diamètre de la lentille du condensateur ne dépasse pas 14cm, le faisceau de lumière qui en résulte suffit amplement à couvrir les diapositives mesurant 9x12cm bordées de manière habituelle. En plus de ce passe vues, l’appareil peut recevoir des passe vues pour diapositives de 8,5x10cm et/ou 8,2×8,2cm.
L’objectif de projection est constitué d’une simple lentille achromatique de 18 cm de foyer, qui convient parfaitement. « Des résultats tout à fait satisfaisants sont obtenus avec lui, dans les limites pour lesquelles l’appareil est conçu, bien qu’il ne puisse rivaliser avec les lentilles modernes de type anastigmate. » L’objectif se visse dans une tête de projection fixée sur un support s’emboîtant le long du banc optique. La mise au point se fait en coulissant l’objectif sur le rail. « Cela suffit pour obtenir une image nette, et par conséquent, aucun dispositif de mise au point fine n’est ajouté à l’objectif. »
Si l’on souhaite un objectif de première qualité, il est recommandé d’utiliser les Tessar qui se distinguent pas une très grande finesse et une luminosité considérable. Lorsqu’on prend un Tessar, l’appareil est livré sans l’objectif de projection, avec une réduction du prix. L’adaptation du condensateur (remplacement de sa dernière lentille par une autre lentille) se fait gratuitement.
Un disque en vulcanite se positionne sur l’objectif et permet de réduire les rayons provenant du condensateur éclairé par la lampe à arc. « Le rayonnement provenant de la lampe ne passe que par l’objectif situé au milieu du disque. »
Le pied en bois qui est représenté en couverture de la brochure peut se replier pour le transport ou le rangement de sorte qu’il prend très peu de place lorsqu’il ne sert pas. Il n’est livré que sur commande expresse et facturé en plus du banc de projection.
NB Le pied en notre possession est marqué “Ica”
Les prix figurant dans le tarif ci-dessus (vers 1910) s’entendent pour une marchandise emportée de Iéna, payée au comptant sans aucune déduction, en espèces, chèques ou traites de banque à courte échéance (emballage non compris). A l’époque 1 Mark ≈ 1,25 franc.
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Posté par Patrice Guerin le 7 janvier 2023
Cliquer sur l’image pour voir l’animation.
Pour voir les plaques complètes cliquer ci-dessous :
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Posté par Patrice Guerin le 29 décembre 2022
Scènes de ménage (5,5×21,5cm).
Plaques de lanterne magique du XVIIIe siècle représentant des scènes comiques ou de la vie courante.
Les mendiants : estropié, musicien (5,5×21,5cm).
La tentation de Saint Antoine (5,5×21,5cm).
Barbe bleu (probablement) N°5 (5,5×21,5cm).
A l’époque les couleurs n’étaient pas aussi transparentes et saturées qu’au milieu du XIXe siècle ce qui leur donne un aspect un peu terne.
Portraits aux oiseaux dont Louis XVI (5,5×21,5cm).
Le Chat Botté N°2 (5,5×21,5cm).
Le dessin et la mise en couleur n’étant pas protégés par un vernis, ils ont disparu au fil du temps et des nettoyages successifs.
Sujet non identifié (5,5×21,5cm).
Sujets non identifiés (5,5×21,5cm).
Collection Patrice GUERIN Diaprojection © 12.2022 reproduction interdite sans autorisation.
Scènes de famille dont la fessée (8×40,5cm).
Arlequin, la colique et le médecin (8×40,5cm).
Portraits dont une matrone au centre (8×40,5cm).
Estropié et musiciens (8x38cm).
Pour voir une animation faite avec ces plaques, cliquer ci-dessous
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Posté par Patrice Guerin le 15 décembre 2022
Pour que les vues puissent être montrées à plusieurs personnes, « à la maison, dans une salle de classe ou lors de projection commerciale », View-Master a mis au point différents modèles de projecteurs pouvant projeter une seule des deux vues du couple stéréoscopique figurant sur un disque. « Il permet de projeter des images Kodachrome en couleur à moins d’un quart du coût des diapositives 35 mm. »
VOIR : Les visionneuses stéréo VIEW-MASTER - Les images sur disques VIEW-MASTER
Le projecteur est de construction robuste et très simple à utiliser. Ses caractéristiques principales sont : objectif f/3.0 Anastigmat ; corps entièrement moulé sous pression ; fenêtre de lecture de titre prismatique éclairée ; interrupteur intégré ; dispositif de focalisation de lentille sensible ; réglage de l’inclinaison.
Ce petit projecteur très courant est utilisé pour des projections à moins de 2 mètres et images de petit format (≈25cm).
Ce projecteur permet des projections de 2 à 4 mètres et images de moyen format (≈50 cm).
Ce projecteur est identique au modèle standard avec un certain nombre d’améliorations. Il permet de faire des projections familiales entre 2 et 6 mètres et images de grand format (≈1 m).
Pour en savoir plus sur l’histoire des View-Master et de son premier designer Karl Kurz, nous vous recommandons vivement de visiter ce site en anglais : CLIQUER ICI
Prototype en bois du premier projecteur View-Master S1 datant de 1946
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